sepulture pour notable de l egypte antique

Paruresd'or et scramasaxe : une nécropole de l'Antiquité tardive exhumée en Alsace. Par Simon Cherner. Publié le 12/09/2021 à 10:00, Mis à jour le 12/09/2021 à 11:43. L'une des sépultures 3– Cléopâtre VII, figure iconique du royaume d’Égypte. Autre personnage marquant de l’Égypte antique : Cléopâtre VII. Dans l’imaginaire collectif, elle est souvent représentée comme une femme belle, séductrice et manipulatrice. Un schéma réducteur, pour cette souveraine, qui contribua à restaurer la grandeur de son royaume. Cest en 2016 que Hussein commence à fouiller le site de Saqqara, à la recherche de tombes bien cachées dans les tréfonds désertiques, de sépultures qui datent de l’an 600 avant J.-C. Les puits profonds ont longtemps été négligés par les égyptologues qui, le plus souvent, étaient en quête de tombeaux remontant à des ères plus lointaines de l’histoire égyptienne. Letombeau du jeune pharaon -mort à 19 ans en 1324 avant J.C. après avoir régné neuf ans- est le seul mausolée de l'Egypte antique à avoir livré un tel trésor. Durantl'Égypte antique, l'argent en tant que métal était une devise presque deux fois plus élevée que l'or et servait de référence pour nombre de produits. Pour les Égyptiens, si la chair des dieux était d'or, leurs os étaient constitués d'argent. Site De Rencontre Entièrement Gratuit Pour Les Femmes. Publié le 15/04/2019 à 1253, Mis à jour le 15/04/2019 à 1308 La tombe découverte serait celle d’un noble de la Ve dynastie entre et avant MOHAMED EL-SHAHED/AFP ARCHÉOLOGIE - Les autorités égyptiennes ont dévoilé dans la nécropole près du Caire la sépulture, ornée de reliefs colorés et d’inscriptions très bien conservées, d’un haut responsable de la Ve dynastie, soit entre 2 500 et 2 300 avant La nécropole de Saqqara, près du Caire, continue de livrer ses secrets. La tombe d’un prénommé Khuwy», vraisemblablement un noble de la Ve dynastie entre 2 500 et 2 300 avant a été découverte en mars. L’intérieur de ce nouveau trésor archéologique a été dévoilé samedi par le ministre des Antiquités, Khaled el-Enany, accompagné de dizaines d’ambassadeurs et d’attachés culturels de plus de vingt pays.La tombe en forme de L de Khuwy commence par un petit corridor qui descend vers une antichambre puis vers une chambre plus large avec des reliefs peints représentant le propriétaire de la tombe assis autour d’une table d’offrandes», décrit Mohamed Megahed, le chef de l’équipe d’excavation, dans un communiqué du ministère des en sérieLa pyramide à degré du pharaon Djéser construite vers avant par l’architecte Imhotep. peintures ornementales de la tombe, composée principalement de briques de calcaire blanc, contiennent une résine verte spécifique et des huiles utilisées lors des enterrements. Le site de Saqqara, au sud du Caire, abrite de nombreux tombeaux et surtout la célèbre pyramide à degrés du pharaon Djéser, la première de l’ère pharaonique. Ce monument, construit vers 2 700 avant par l’architecte Imhotep, est considéré comme l’un des plus anciens monuments à la surface du lire aussiDécouverte de la sépulture d’un prêtre vieille de plus de 4 400 ans en ÉgypteCes derniers mois, plusieurs grandes découvertes ont été faites dans la zone. La même équipe a déjà dévoilé plusieurs tombes datant de la Ve dynastie. En novembre, sur le même site de Saqqara, les autorités égyptiennes avaient révélé la découverte de sept tombes, dont quatre datant de plus de 6 000 ans. Les archéologues avaient notamment mis au jour des scarabées et des chats rois de la com’Ces dernières années, l’Égypte a considérablement renforcé sa communication autour des découvertes archéologiques. Elles constituent un argument majeur face à la concurrence d’autres destinations touristiques mais le pays a souvent été accusé de négligence et d’un manque de rigueur scientifique. Si l’instabilité politique et les attentats ont porté un coup dur au tourisme depuis la révolution de 2011, le secteur a toutefois connu une relative amélioration ces dernières lire aussiL’exposition Toutânkhamon accusée de racisme Nous sommes entrés dans l’âge identitaire»Première mondiale, un sarcophage a été ouvert en direct à la télévision au début du mois. Josh Gates, l’animateur de l’émission américaine Expédition Unknown sur la chaîne Discovery, a commenté la découverte de la momie d’un prêtre égyptien datant de plus de 2500 ans. Autre plan de com’ à grande échelle, l’exposition itinérante de Toutankhamon actuellement à Paris à La Villette. Parmi les 150 pièces, 40 % n’étaient jamais sorties d’Égypte avant cette tournée mondiale qui s’achèvera au Caire. Le trésor de Toutankhamon, rejoindra un nouveau musée gigantesque, dont la surface sera deux fois plus grande que celle du Louvre. Pharaonique.» VOIR AUSSI - Toutankhamon le pharaon mystérieuxToutankhamon le pharaon mystérieux - Regarder sur Figaro Live – créé le à 21h04 – La rédaction Google Maps Le tombeau d’un scribe royal datant de 1 200 ans avant l’ère chrétienne a été découvert à Louxor, en Egypte, par des chercheurs japonais. De magnifiques fresques en ornent les parois intérieures. Une tombé inviolée depuis plus de trois millénaires L’Egypte antique n’en finit pas de livrer ses trésors. Dans le site Louxor, sur la rive droite du Nil, en Haute-Egypte, des chercheurs japonais de l’université de Waseda ont mis au jour la tombe d’un scribe royal vieux de 3 200 ans. La sépulture, située dans la nécropole de Thèbes, n’a jamais revu la lumière depuis le décès du notable qui remonte à 1200 avant Jésus-Christ. La découverte de ce tombeau s’est faite par hasard, raconte Paris Match. Alors qu’il effectuait des relevés sur le parvis d’une autre tombe, celui d’un haut fonctionnaire sous le roi Amenhotep II, le chef de l’équipe de chercheurs, Jiro Kondo, a repéré une ouverture menant à une pièce secrète. Et là, surprise, un conduit mène au tombeau du scribe royal Konsu qui vivait pendant la période ramesside. Lire aussi Une soixantaine de photos retrouvées sur la tombe de Sitarane De magnifiques fresques sur les murs du tombeau Les chercheurs ont examiné les décorations du tombeau du scribe royal. Il s’agit de magnifiques fresques murales tapissant les parois intérieures du caveau de 4,6 mètres par 5,5 mètres. Une gravure montre le navire du dieu Ra-Atum au pied duquel se prosternent quatre babouins. Des hiéroglyphes qualifient Konsu de "vrai scribe de renom". D’autres images tapissent les murs du tombeau du scribe royal, notamment celles des dieux Osiris et Isis. Les chercheurs ne diffusent les images qu’au compte-gouttes, mais ils ont promis de redescendre dans le caveau pour en prendre d’autres. Suivre l’actualité de l’Egypte. 2 juillet 2010 5 02 /07 /juillet /2010 2300 Nous étions donc tous réunis, samedi dernier, amis lecteurs, pour ensemble visiter la tombe du patriarche d'une importante famille de hauts fonctionnaires memphites de cette VIème dynastie qui clôture pratiquement l'Ancien Empire égyptien. La semaine précédente, j'avais, dans une première intervention, largement souligné la destinée particulière des membres de cette lignée puis-je me permettre de vous conseiller d'éventuellement vous replonger dans vos notes de la dernière quinzaine si, d'aventure, l'un ou l'autre détail de notre visite de ce matin venait à vous échapper ? Il est effectivement dans mes intentions aujourd'hui de vous convier à découvrir, toujours dans la même nécropole d'Abousir, immédiatement au sud de celui de son père, le mastaba d'Inty, à tout le moins sa partie supérieure. Une toute petite précision s'impose d'emblée alors que je m'étais donné comme ligne de conduite d'envisager avec vous les travaux des équipes de l'égyptologue tchèque Miroslav Barta durant les ultimes années du précédent siècle, je pense opportun de quelque peu transgresser cette position dans la mesure où les mastabas de Qar et de son fils Inty, dans le même complexe funéraire, se doivent à mon sens d'être traités ensemble ; même si, de campagne en campagne, ce fut en 2000-2001 que les archéologues exhumèrent la superstructure du mastaba - ce que nous verrons ce matin -, et en 2002 que le puits funéraire dans lequel nous descendrons samedi prochain fut mis au jour, soit à ce présent XXIème siècle qui constituera, dès l'automne prochain, un nouveau grand "chapitre" de nos visites de la nécropole. Aujourd'hui, donc, et sans nous préoccuper de chronologie, c'est chez Inty que nous nous rendons. Inty - ou Inti, selon les graphies , - était, souvenez-vous, le petit dernier, le fils "préféré" que Qar eut d'une seconde épouse. Comme son père, comme ses frères, ce puîné embrassa la fonction de Juge de Nekhen. Miroslav Barta pense qu'il est très probable que, si pas simultanément, le tombeau d'Inty fut construit fort peu de temps après celui de son père. Et de baser son opinion sur un aménagement particulier remarqué lors des fouilles il a en effet retrouvé l'emplacement d'une petite ouverture dans le mur ouest partiellement détruit de la chapelle vizirale de Qar qui donnait sur une pièce située juste en face de l'entrée de la tombe de son fils et donc, qui reliait ensemble les deux monuments funéraires. C'est la raison pour laquelle, les plus attentifs d'entre vous auront très certainement noté que dans une précédente intervention, j'ai employé les termes de "semi-indépendants" pour définir les deux mastabas. C'est à l'ouest, en fonction de la topographie du cimetière sud d'Abousir, que se situe la façade du tombeau, d'une largeur de 2, 72 m, magnifiquement préservée qu'elle fut, comme vous pouvez le constater, grâce au sable du désert qui recouvrit le lieu des millénaires durant. Composé de blocs de calcaire décorés de reliefs dans le creux ayant encore partiellement conservé leurs teintes d'origine, chacun des deux côtés de l'entrée propose, sur 1, 03 m de large, en séquences relativement symétriques, le juge Inty, debout, en taille héroïque, tenant, bien visible sur la paroi gauche, un long bâton. Torse nu, simplement vêtu d'un pagne à devanteau, il est coiffé d'une perruque longue, à fines mèches parallèles, et arbore une barbe très courte. Un large collier ousekh composé de plusieurs rangs de perles lui orne le cou. A ses pieds, Ankhemtjenenet et Senedjemib II, ses deux fils, représentent la troisième génération de la famille de Qar. Disposés en colonnes verticales, les hiéroglyphes, eux aussi gravés en creux, que vous apercevez devant et au-dessus des personnages donnent à lire une courte autobiographie du juge Inty, mais aussi le traditionnel "Appel aux vivants" ou "aux visiteurs", suivant les propos inscrits. Si vous observez attentivement, vous distinguerez au-dessus de la main d'Inty, à gauche comme à droite, mais plus facilement de ce côté, trois hiéroglyphes - djed-f, en égyptien -, signifiant "Il dit " ces pictogrammes marquent l'introduction aux paroles, prières ou menaces, parfois promesses, que le propriétaire de la tombe adressait à ceux, prêtres, fonctionnaires de la nécropole et bien évidemment ses propres parents, qui étaient amenés à pénétrer dans la chapelle où se devait de lui être rendu un culte ; culte qui, j'aime à le rappeler, constituait tout à la fois un devoir de mémoire de la part des proches et, de manière concomitante, l'espérance en la survie dans l'Au-delà pour le défunt lui-même. Pour différencier les textes en question, les égyptologues nomment "Appel aux vivants" ceux qui se composent seulement de prières, "Formule prohibitive" quand il n'y a que des menaces et "Adresse aux visiteurs" ceux qui réunissent les deux. Le savant genevois Henri Wild, 1902-1983, se référant à plusieurs formulations semblables relevées dans différents mastabas de cette époque, dont celui de Ti, à Saqqarah, proposa jadis une traduction type mettant l'accent sur le fait qu'est menacée d'être jugée devant le grand dieu toute personne qui entrerait dans le tombeau en n'étant point pure, c'est-à-dire, pour les prêtres ritualistes par exemple, en ayant consommé des produits prohibés souvenez-vous des poissons que j'ai déjà ici évoqués. Le texte, ou plutôt le défunt, ajoute la précision qu'il a été initié à divers rites, qu'il connaît les livres sacrés et que, de la sorte, il est à même de protéger ceux qui, en état de pureté, lui apporteront les offrandes funéraires. J'annonce tout de suite que je ne dispose pas du texte exact que les épigraphistes tchèques ont relevé chez Inty ; toutefois si un exemple de cette formule vous intéresse, amis lecteurs, je ne puis que vous conseiller, une fois encore, de vous rendre sur l'excellent site d'OsirisNet où, dans l'étude qui y est proposée du mastaba de Ti, est reprise in extenso, tout au bas de la page 1, la traduction d'Henri Wild. Avant de pénétrer ensemble plus avant, je voudrais vous faire remarquer la présence, ici, de petits obélisques - ou ce qu'il en reste habituellement érigés par paires - il y en eut donc très probablement quatre devant le mur de façade de la tombe d'Inty -, ces monuments que l'on retrouvera bien plus tard, au Nouvel Empire, pesant des tonnes cette fois, essentiellement de part et d'autre des pylônes d'entrée des temples, symbolisaient en fait les rayons du dieu solaire Rê auquel, au point de départ, on rendait hommage dans la ville d'Héliopolis. A l'intérieur du passage d'accès d'environ 1, 30 m de long, les égyptologues découvrirent les processions d'hommes et de femmes, ces dernières, sur le mur ouest, personnifiant les différents domaines agricoles ayant appartenu au défunt et dont les noms sont en rapport avec le roi Téti, tandis que les premiers, sur le côté est, figuraient les porteurs d'offrandes scènes récurrentes dont peut-être vous vous souviendrez avoir vu un exemplaire, si pas lors d'un séjour en Egypte, à tout le moins, pour les plus fidèles d'entre vous, quand ensemble nous avons visité la chapelle d'Akhethetep, en salle 4 du Département des Antiquités égyptiennes du Musée du Louvre. Empruntons maintenant, voulez-vous, ce petit couloir d'entrée d'un peu moins de 70 centimètres de largeur - merci de prendre garde à ne pas abîmer les parois décorées, notamment avec vos sacs à dos - pour déboucher dans une petite cour de 5, 46 sur 3, 33 mètres, pavée de blocs de calcaire là, dans le mur ouest, a été aménagée la chapelle cultuelle large d'1, 70 m et haute de 2, 15 m de laquelle, il y a quelques années, fut exhumée la stèle fausse-porte les deux clichés ci-dessous, émanant des archives de l'Institut tchèque d'égyptologie, font état de deux étapes de son excavation. Taillée dans un bloc monolithique en calcaire, surmontée d'une corniche à gorge, elle est couverte de hiéroglyphes gravés en creux détaillant les traditionnelles formules d'offrandes, mais surtout, le nom et les titres officiels d'Inty informations non négligeables permettant aux chercheurs de partiellement reconstituer sa carrière prestigieuse au sein de l'Administration centrale memphite. Dans la partie supérieure de cette fausse-porte la "fenêtre" à travers laquelle l'on peut "voir" une relativement rare double représentation du défunt assis à la table de son repas funéraire. Au fur et à mesure du dégagement des parois de la chapelle cultuelle d'Inty, il apparut très vite aux membres de l'équipe de Miroslav Barta que les scènes qui en ornaient les différents murs étaient d'une beauté et d'une finesse d'exécution bien supérieures à celles qui avaient été retrouvées quelques années auparavant dans celle de Qar, son père. Parmi elles, notamment, remarquablement bien préservé, un bas-relief d'Inty à nouveau devant sa table d'offrandes. L'égyptologue belge Nadine Cherpion a magistralement démontré, dans une étude centrée sur la datation des mastabas et des hypogées de l'Ancien Empire, qu'existaient quatre catégories de critères utiles permettant de chronologiquement classer ces tombes avec une certaine précision ce sont bien évidemment les vêtements portés par le défunt, mais aussi les détails de la fausse-porte, la table d'offrandes devant laquelle il se tient, sans oublier son contenu, et - c'est la raison pour laquelle je précise ici ce point -, le siège sur lequel il est assis. En effet, en comparant des figurations semblables dans plusieurs chapelles funéraires, l'on se rend très vite compte que les sièges peuvent présenter des différences notoires dans maints détails de leur fabrication notamment aux niveaux des dossiers, de la présence ou non d'un coussin, de la forme des pieds, etc. Celui d'Inty est constitué d'un dossier bas que recouvre un coussin, a des pieds thériomorphes, c'est-à-dire évoquant un animal sauvage ici, ce sont des pattes de lion, et se termine, à l'arrière, par une ombelle de papyrus. Tous ces points, mais aussi bien d'autres dans la tombe, permettent donc de la situer à l'époque du roi Téti. Autre scène, sous le siège la présence d'un nain tenant en laisse Idjem, - son nom a été incisé juste au-dessus de ses oreilles dressées -, le chien favori du défunt, un de ces "Lévriers des Pharaons" à la rare élégance auquel, précédemment, j'ai déjà fait allusion. © Archive of the Czech Institute of Egyptology, Kamil Voděra. Certains d'entre vous peut-être ont pu admirer semblable représentation, pas loin d'ici, à Saqqarah, dans le mastaba de Mererouka, qui fut lui aussi, comme Qar, le père d'Inty, vizir de Téti, à la VIème dynastie. Si, comme vous l'avez assurément noté, les traits du visage ainsi que quelques détails de ce portrait du fils préféré de Qar, comme le large collier ousekh qu'il porte sur la poitrine, ou la perruque finement frisée à laquelle je faisais référence il y a quelques instants, attestent indiscutablement du haut degré de perfection de l'artiste égyptien, ils manifestent également l'exigence esthétique qu'Inty imposa à ceux qui s'occupèrent de sa "Maison d'éternité" il faut en effet que vous soyez conscients qu'à cette époque déjà, les propriétaires des tombes privées mettaient un point d'honneur à contrôler et la qualité du travail architectural en général et celle de la décoration intérieure en particulier. Aux fins de clôturer l'évocation de l'immense complexe funéraire de Qar et de ses proches, et avant, je l'avoue, les vacances que, partiellement, mon blog se propose de m'offrir, je vous invite à nous retrouver une dernière fois, amis lecteurs, samedi prochain, devant le mastaba d'Inty ensemble nous descendrons visiter la chambre sépulcrale. A samedi ... Barta 2004, 53-6 ; Id. 2005 ; Cherpion 1989, 25-42 ; Onderka & alii 2008, 104 ; Wild 1959, 101-12 Publié par Richard LEJEUNE - dans L'Égypte à l'Est Nothing matches your search for "Sepulture Pour Notable De Legypte Antique Hats".Don't give up! Check your spelling, clear some filters or try something for youTags overthink, let me overthink this, anxiety, anxious, funny, worry, introvert, overthinking, overthinker, introverts, for introverts, introverted, typography, humour, self deprecating humour, quote, quotes, dead pan Hang on. Let me overthink this. 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Depuis 2012, une fouille systématique du site est menée par une mission archéologique égypto-allemande dirigée par les de page Notes 1 Les recherches sur le temple du soleil à Matariya sont financées par la Deutsche Forschungsgemeinschaft. Le projet a reçu le soutien de la Fondation Schiff Giorgini. Des aides supplémentaires ont été généreusement accordées par la Gerda Henkel Stiftung, la Bertold-Leibinger Stiftung, l’Ägyptologie-Forum Universität Zürich, le Freundeskreis des Ägyptischen Museums der Universität Leipzig l’American Research Center in Egypt, l’Ambassade de la République Fédérale d’Allemagne au Caire, The Selz Foundation New York, le Forum Ägyptologie an der Universität Hamburg l’Europäische Stiftung der Rahn Dittrich Group für Bildung und Kultur, la Greiss-Stiftung Köln, le Fonds Khéops pour l’Archéologie Paris, Sameh Sawiris Le Caire, le Freundeskreis des Ägyptischen Museums der Universität Leipzig le Mehen Studiecentrum voor het Oude Egypte Pays-Bas. 2 Le locus classicus étant bien sûr la formule 600 des Textes des Pyramides, dont les plus anciennes versions sont préservées dans les pyramides de Mérenrê et Pépy II, voir J. P. Allen, Genesis in Egypt the Philosophy of Ancient Egyptian Creation Accounts, New Haven 1988 Yale Egyptological studies 2, p. 8-35 ; S. Bickel, La cosmogonie égyptienne avant le Nouvel Empire, Fribourg/Göttingen 1994 Orbis Biblicus et Orientalis 134, p. 33-80. 3 R. Redfield, The Social Organisation of Traditions », Social Organisation of Traditions 15/1 1955, p. 13-21; N. Sackley, Cosmopolitanism and the Uses of Tradition Robert Redfield and Alternative Visions of Modernization during the Cold War », Richmond School of Arts & Sciences History Faculty Publications, Modern Intellectual History 9/3 2012, p. 565-595; K. D. Morrison, Constructing the Great Tradition’ The Comparative Civilizations Project at Chicago in the Context of South Asian Studies ». Paper presented at the conference, “Appraisal of Robert Redfield’s Great and Little Traditions’ Framework for Theorizing Long-Term Historical Processes in the Pre-Modern Levant,” Center for Advanced Study, Oslo, Norway, October 6-8, 2014, p. 1-11; O. S. LaBianca, Great and Little Traditions A Framework for Studying Cultural Interaction through the Ages in Jordan », Studies in the History and Archaeology of Jordan 9 Amman, 2007, p. 275-289. 4 LaBianca, Great and Little Traditions n. 3, p. 277; voir aussi Sackley, Cosmopolitanism and the Uses of Tradition » n. 3, p. 582-585. Le Bouddhisme theravada serait ainsi la Great Tradition des monastères, tandis que le Bouddhisme cinghalais et thaïlandais serait la pratique des masses urbaines et rurales, voir G. Obeyesekere, The Great Tradition and the Little in the Perspective of Sinhalese Buddhism », The Journal of Asian Studies 22/2 février 1963, p. 141. 5 Sackley, Cosmopolitanism and the Uses of Tradition » n. 3, p. 588-592; Redfield, The Social Organisation of Traditions » n. 3, p. 15-18 Tradition is history specific, a product of the present as much as the past and an object of struggle »; Morrison, Constructing the Great Tradition’ n. 3, p. 10. 6 D. Raue, Heliopolis und das Haus des Re. Eine Prosopographie und ein Toponym im Neuen Reich, Berlin 1999 Abhandlungen des Deutschen Archäologischen Instituts Abt. Kairo 16, p. 110 et 112. De même, l’histoire du dieu-créateur memphite Ptah est écrite quelque trois cents ans plus tard, succédant au modèle héliopolitain, F. Dunand, C. Zivie-Coche, Dieux et hommes en Égypte 3000 av. - 395 apr. Paris 1991, p. 41, 58, 65-67. 7 Comparer J. Auenmüller, Zum Ort der Gräber von Hohepriestern des Neuen Reiches », Göttinger Miszellen 248 2016, p. 39-52. 8 Seules quelques exceptions sont connues Abydos, Moyen Empire K. A. Kitchen, An Unusual Stela from Abydos », Journal of Egyptian Archaeology 47 1961, p. 15 ; je remercie Jocelyne Berlandini et Lorenzo Medini pour les attestations suivantes Assiout, Troisième Période Intermédiaire mère-du-dieu d’Assiout ; J. Berlandini, Petits Monuments Royaux de la XXIe à la XXVe Dynastie », Hommages à la mémoire de Serge Sauneron I, Le Caire 1979 Bibliothèque d’étude 81, p. 104-108 ; Hermopolis – époque ptolémaique statue d'Ounnefer, Londres BM 69486, père-du-dieu de Oun/Hermopolis thèse inédite de Lorenzo Medini. 9 H. G. Fischer, Dendera in the Third Millennium Glückstadt 1968, p. 37-40. 10 M. De Dapper, T. Herbich, Geomorphological and Geophysical Survey », Egyptian Archaeology 46 2015, p. 12-13; voir aussi Raue, Heliopolis und das Haus des Re n. 6, p. 31-37, Pl. 1-4. 11 Les publications correspondantes ont été produites par les collègues égyptiens de l’université du Caire sous la direction de Abd el-Aziz Saleh, Excavations in Heliopolis I/II, Le Caire 1981-1983. 12 Pour la situation géostratégique, voir C. Somaglino, La stèle de Héni et la géographie de la frange orientale du Delta à l’Ancien et au Moyen Empire », Bulletin de la Société Française d’Égyptologie 193-194 2016, p. 29-51. 13 Nous sommes ainsi très reconnaissants à Federica Ugliano du Musée de Turin, qui nous a permis de consulter sa documentation sur les trouvailles de Schiaparelli. 14 F. Ugliano, Ernesto Schiaparelli and the Italian Archaeological Mission MAI Predynastic Egypt at Museo delle Antichità Egizie Turin, Italy », dans B. Midant-Reynes, Y. Tristant éd, Egypt at its origins 5 Proceedings of the Fifth International Conference Origin of the state. Predynastic and early Dynastic Egypt’, Cairo, 13th-18th April 2014, Louvain 2017, p. 199-207 Orientalia Lovaniensia Analecta 260. La découverte de vases cylindriques W-Ware » près de l’Arbre de Marie » en 1994 observation personnelle permet d’établir une correspondance avec la même phase. 15 N. A. Mahmoud, G. Faris, R. Schiestl, D. Raue, Pottery of the Middle Kingdom and the Second Intermediate Period from Heliopolis », Mitteilungen des Deutschen Archäologischen Instituts Abt. Kairo 64 2008, p. 189. 16 W. St. Smith, A History of Egyptian Sculpture and Painting in the Old Kingdom, Londres 1946, p. 132-137. Avec une lecture du reste d’un groupe de signes noub » c’est-à-dire l’or ». Pour cette raison, il a conclu à une allusion au soleil. Voir L. Morenz, Die Götter und ihr Redetext die ältest-belegte Sakral-Monumentalisierung von Textlichkeit auf Fragmenten der Zeit des Djoser aus Heliopolis », dans H. Beinlich, J. Hallof, H. Hussy, C. von Pfeil éd., 5. Ägyptologische Tempeltagung Würzburg, September 1999, Wiesbaden 2002 Ägypten und Altes Testament 33,3, p. 147-148, 156 fig. 8. Les reliefs de Djoser d’Héliopolis feront l’objet d’une nouvelle publication détaillée par Massimiliano Nuzzolo et Jaromir Krejč. 17 M. Nuzzolo, J. Krejč, Heliopolis and the Cult of the Sun in the Old Kingdom », Ägypten und Levante XXVII 2017, p. 357-380. 18 P. Tallet, Les papyrus de la mer Rouge I Le journal de Merer’ Papyrus Jarf A et B. Le Caire 2017 Mémoires publiés par les membres de l’Institut français d’archéologie orientale 136, p. 87 ; un sphinx de Mycerinos a été decouvert à Tell Hazor, voir consulté le 12 mars 2018. 19 R. Bussmann, Die Provinztempel Ägyptens von der 0. bis zur 11. Dynastie, Leyde/Boston 2012 Probleme der Ägyptologie 30, p. 468-471. 20 Communication par Aiman Ashmawy mai 2017 ; un grand récipient en albâtre du roi Mérenrê a été découvert par notre mission en 2015 dans le secteur 221, dans un contexte ramesside. 21 Pour la nécropole de l’Ancien Empire, voir aussi M. Abd el-Gelil, A. Saadani, D. Raue, Some inscriptions and reliefs from Matariya », Mitteilungen des Deutschen Archäologischen Instituts, Abteilung Kairo 52 1996, p. 143-144 et D. Raue, Heliopolis und das Haus des Re n. 6, p. 471. 22 K. Martin, Ein Garantsymbol des Lebens Untersuchungen zu Ursprung und Geschichte des altägyptischen Obelisken bis zum Ende des Neuen Reiches, Hildesheim 1977 Hildesheimer Ägyptologische Beiträge 3, p. 223-227, 238-239 fig. 8. 23 Le titre de prophète de Horus-khenti-perou » est porté par un prêtre nommé Pépyseneb sur un obélisque de la nécropole Fouilles dirigés par Atef Tawfiq, SCA 1994. 24 Abd el-Gelil, Saadani, Raue, Some inscriptions and reliefs » n. 21, p. 145-152. 25 F. Arnold, The South Cemeteries of Lisht, volume II the Control Notes and Team Marks, New York 1990, p. 23. 26 L. Postel, I. Régen, Annales héliopolitaines et fragments de Sésostris Ier réemployés dans la porte de Bâb al-Tawfiq au Caire », Bulletin de l’Institut Français d’Archéologie Orientale 105 2005, p. 232-276. Ils ont été découverts à Bâb Tawfiq en même temps que la lunette d’une stèle royale de Sésostris Ier mesurant 2,26 mètres de largeur. Nous avons la chance de pouvoir documenter l’existence d’un autre sanctuaire à côté du temple central le célèbre inventaire de Turin, qui date probablement de la fin de la Troisième Période Intermédiaire, a préservé le plan d’une construction de Sésostris Ier pour la déesse Hathor-Nebet-Hetepet. L’emplacement du temple reste encore inconnu, voir H. Ricke, Eine Inventartafel aus Heliopolis im Turiner Museum », Zeitschrift für ägyptische Sprache und Altertumskunde 71 1935, p. 111-133. 27 Postel, Régen, Annales héliopolitaines » n. 26, p. 268. 28 Voir le plan général sur le site consulté le 12 mars 2018. 29 Luc Gabolde me fait savoir que le seul mur de cette épaisseur est en fait le mur d’enceinte de Thoutmosis Ier à Karnak 30 L. Gabolde, D. Laisney, L’orientation du temple d’Héliopolis données géophysiques et implications historiques », Mitteilungen des Deutschen Archäologischen Instituts Abt. Kairo à paraître. 31 A. Ashmawy, D. Raue, Héliopolis en 2017 les fouilles égypto-allemandes dans le temple du soleil à Matariya/Le Caire », Bulletin de la Societé francaise d’Égyptologie 192 2017, p. 31-32 ; pour les piliers du Moyen Empire à Karnak, consulter L. Gabolde, Karnak, Amon-Rê. La genèse d’un temple, la naissance d’un dieu, Le Caire 2018 Bibliothèque d’Étude 167, p. 224-234 ; voir aussi Carlotti, E. Czerny, L. Gabolde, Ch. Abd el-Sattar, Sondage autour de la plate-forme en grès de la cour du Moyen Empire’ », Cahiers de Karnak 13 2010, p. 151-155. 32 M. Abd el-Gelil, R. Suleiman, G. Faris, D. Raue, The joint Egyptian-German excavations in Heliopolis in autumn 2005 preliminary report », Mitteilungen des Deutschen Archäologischen Instituts, Abteilung Kairo 64 2008, p. 5-7. Actuellement, 480 fragments de statues en granite rose découverts jusqu’ici sont en train d’être étudiés par Christopher Breninek. Selon la perspective du spectateur, l’impression donnée est celle du style de la sculpture de l’Ancien Empire ; voir Aschmawy, Raue, Héliopolis en 2017 » n. 31, p. 33. 33 Mahmoud, Faris, Schiestl, Raue, Pottery of the Middle Kingdom » n. 15, p. 190-191. Il est probable qu’une série de reliefs proviennent de tombes de ce type, voir Raue, Heliopolis und das Haus des Re, p. 473. 34 Abd el-Gelil, Saadani, Raue, Some inscriptions and reliefs » n. 21, p. 153-154 35 Voir supra la mentionnant une sculpture royale trouvée à Tell Hazor. 36 Raue, Heliopolis und das Haus des Re n. 6, p. 401-402. 37 Raue, Heliopolis und das Haus des Re n. 6, p. 402-403. 38 D. Laboury, Citations et usages de l’art du Moyen Empire à l’époque thoutmoside », dans S. Bickel éd., Vergangenheit und Zukunft Studien zum historischen Bewusstsein in der Thutmosidenzeit, Bâle 2013 Aegyptiaca Helvetica 22, p. 14 n. 27, p. 15, fig. 1. 39 J. Assmann, Das Sendungsbewusstsein der Hatschepsut », dans G. Moers, H. Behlmer, K. Demuß, K. Widmaier éd., Festschrift für Friedrich Junge 1, Göttingen 2006, p. 59-72. 40 Raue, Heliopolis und das Haus des Re n. 6 p. 298-301. 41 Ibidem, p. 149-152. 42 A. C. Sbriglio, F, Ugliano, Re-excavating Heliopolis unpublished archaeological data from the archives of Ernesto Schiaparelli and Missione Archeologica Italiana », dans M. S. Pinarello, J. Yoo, J. Lundock, C. Walsh éd., Current research in Egyptology 2014 proceedings of the Fifteenth Annual Symposium, University College London and King's College London, April 9-12, 2014, Oxford/Philadelphie 2015, p. 278-293 43 Ibidem, p. 81-83. La datation de la structure à l`époque tardive est à corriger. 44 Ibidem, p. 296. 45 Ibidem, p. 306-308; S. A. el-Adly, Vier Stelen des Königs Amenophis III. aus Heliopolis », Göttinger Miszellen 193 2003, p. 51-58. 46 Les trouvailles sont étudiées par Klara Dietze et Christopher Breninek. 47 Raue, Heliopolis und das Haus des Re n. 6, p. 118-119, 310-311. 48 Ibidem, p. 321-324. Voir aussi les blocs réemployés de la sépulture du Mnévis érigée par Ramsès II, qui préservent des textes de Toutânkhamon. Les dieux Amon et Khonsou sont nommés sur ces blocs, le dernier étant plus exactement évoqué sous l’appellation Khons-ḥrj-jb-Jwnw », voir N. Kawai. Tutankhamon à Heliopolis » – dans un Festschrift à paraître –, et Raue, Heliopolis und das Haus des Re n. 6, p. 312-313. 49 Voir les rapports préliminaires des années 2014 et 2016 au consulté le 12 mars 2018 50 La possibilité qu’il s’agisse ici d’une allusion rétrospective à Ramsès I peut aussi être retenue, voir Ashmawy, Raue, Héliopolis en 2017 » n. 31, p. 37-38. 51 Communication par Khaled Abou al-Ela et Mahmoud Tharwat mars 2016. 52 Raue, Heliopolis und das Haus des Re n. 6, p. 368-371. 53 Report on the work of the Egyptian-German Mission at Matariya / Heliopolis in spring 2015, voir consulté le 13 mars 2018 ; pour d’autres monuments de Mérenptah, voir Raue, Heliopolis und das Haus des Re n. 6, p. 368-373. 54 Ibid., p. 412-430 ; le quartier de la porte de Ramsès III à la limite occidentale du temenos peut probablement être assigné à ce contexte, voir Abd el-Aziz Saleh, Excavations at Heliopolis II, Le Caire 1983, p. 48-52. 55 Raue, Heliopolis und das Haus des Re n. 6, p. 382 ; voir aussi le récit du miracle de l’arbre iched, ibid., p. 430-437. 56 Ibid., p. 373-391 ; un nouveau buste de Séthi II en calcaire a été découvert en mars 2017 dans le secteur 200/Suq el-Khamis, voir A. Ashmawy, D. Raue, Ägyptisch-deutsche Ausgrabungen in Heliopolis im Frühjahr 2017 », Sokar 34 2017, p. 65, fig. 4 ; pour l’obélisque et la statue de Ramsès VI, voir A. Ashmawy, D. Raue, Matariya 2016. Ramesside Dynasties at Heliopolis », Egyptian Archaeology 50 printemps 2017, p. 20. 57 S. Bickel, M. Gabolde, P. Tallet, Des annales héliopolitaines de la Troisième Période Intermédiaire » Bulletin de l’Institut Français d’Archéologie Orientale 98 1998, p. 31-56 ; Bubastis É. Lange-Athinodorou, Der Tempel des Hermes’ und die Pfeile der Bastet Zur Rekonstruktion der Kultlandschaft von Bubastis » dans un Festschrift à paraître. 58 La provenance héliopolitaine d’une tête du roi Chabaka Londres BM 63833 a été proposée par E. Russmann, Eternal Egypt Masterworks of Ancient Art from the British Museum [Exhibition at the Toledo Museum of Art, Toledo, Ohio, March 1-May 27, 2001, and Walters Art Museum, Baltimore, Md., September 21, 2003-January 4, 2004], Londres 2001, p. 223-225, No. 120. 59 A. Ashmawy, S. Connor, D. Raue, The quartzite colossus of Psamtek I in Suq el-Khamis Heliopolis. Egyptian-German Mission, March 2017 », Annales des Service des Antiquités de l’Égypte 2018, à paraître ; A. Ashmawy, D. Raue, Héliopolis en 2017 » n. 31, p. 40-41 ; pour la nécropole saite, voir Abd el-Ghaffar, M. W. Moustafa, Die saïtische Nekropole in Heliopolis. Archäologische und architektonische Studie PhD dissertation, Université de Leipzig, 2017. Pour les statues colossales de Psammétique I à Memphis, voir Hérodote et Diodore 60 A. Ashmavy, M. Beiersdorf, D. Raue, The Thirtieth Dynasty in the temple of Heliopolis », Egyptian Archaeology 47 2015, p. 15-16 ; A. Ashmawy, D. Raue, Héliopolis en 2017 » n. 31, p. 40-41 ; les inscriptions sont étudiées par Stephanie Blaschta dans le cadre de son master, qui doit paraitre dans une monographie de la collection Studien zur spätägyptischen Religion, éditée par A. Ashmawy, D. Raue et D. von Recklinghausen. 61 Cet énorme projet de construction est en cours d’étude par l’architecte M. Beiersdorf, voir A. Ashmavy, M. Beiersdorf, D. Raue, The Thirtieth Dynasty in the temple of Heliopolis » n. 59, p. 13-14. 62 Strabon trad. P. Charvet, dans J. Yoyotte, P. Charvet, St. Gombertz, Strabon. Le voyage en Égypte, Paris 1997, p. 125. 63 L’exemple le plus connu est la destruction de l’Acropole d’Athènes par les Perses en 480 av. ; voir aussi pour D. H. Bumke, Der archaische Heiligtumsbefund vom Taxiarchis’-Hügel und sein Zeugniswert für die Rekonstruktion ritueller Mahlzeiten », dans I. Gerlach, D. Raue éd., Sanktuar und Ritual. Heilige Plätze im archäologischen Befund, Menschen - Kulturen - Traditionen 10. Rahden 2013, p. 335-336. 64 K. Dietze, St. Schulz, Excavation – Area 232 », voir Report on the work of the Egyptian-German Mission at Matariya/Heliopolis in autumn 2015 and spring 2016 », p. 12-16, consulté le 13 mars 2018. Les strates de ce quartier seront étudiées par Klara Dietze. 65 G. Botti, P. Romanelli. Le sculture del Museo Gregoriano Egizio, Monumenti vaticani di archeologia e d’arte 9, Vatican 1951, p. 22-26. 66 E. Iversen, Obelisks in Exile I, The Obelisks of Rome, Copenhague 1968, p. 65-75, 115-127. 67 M. Weber, A. Geissen, Die alexandrinischen Gaumünzen der römischen Kaiserzeit die ägyptischen Gaue und ihre Ortsgötter im Spiegel der numismatischen Quellen, Wiesbaden 2013 Studien zur spätägyptischen Religion 11, p. 323-324. 68 St. Halikowski-Smith, Meanings behind myths the multiple manifestations of the Tree of the Virgin at Matarea », Mediterranean Historical Review déc. 2008, p. 101-128; Id., The balsam grove of Matarea », Egyptian Archaeology 32 2008, 36. 69 Cf. U. Haarmann, Luxor und Heliopolis Ein Aufruf zum Denkmalschutz aus dem 13. Jahrhundert n. Chr. », Mitteilungen des Deutschen Archäologischen Instituts Abt. Kairo 40 1984, p. de page Pour citer cet article Référence papier Dietrich Raue, Religion et politique au cœur de l’ancienne Égypte le temple d’Héliopolis », Annuaire de l'École pratique des hautes études EPHE, Section des sciences religieuses, 125 2018, 93-108. Référence électronique Dietrich Raue, Religion et politique au cœur de l’ancienne Égypte le temple d’Héliopolis », Annuaire de l'École pratique des hautes études EPHE, Section des sciences religieuses [En ligne], 125 2018, mis en ligne le 28 juin 2018, consulté le 29 août 2022. URL ; DOI de page Droits d’auteur Tous droits réservés EPHEHaut de page

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